Le choix de la grossesse et du sexe
Je pars du principe que le sexe de l'enfant peut être connu avant même la fécondation. Que ce sont les névroses ou plutôt le mode de fonctionnement de l'instant du père et de la mère mis en commun qui détermine quel sexe aura l'enfant. Si le «traumatisme» du père consiste indirectement à ne pas produire de chromosome Y viable, le couple n'aura jamais de garçon, et s'il s'agit de chromosome porteur du X, le couple n'aura jamais de fille. Il faut bien évidemment tenter d'étayer ces dires. Il n'est nulle question de démonstration, mais d'opinions, d'hypothèses. J'ai pour exemple un couple, la femme est tombé enceinte. Le mode de fonctionnement de celui-ci portait à croire que l'enfant serait un garçon. La femme tenait à savoir le sexe de l'enfant afin de lui trouver un prénom. Sur une échographie, le médecin a annoncé qu'il s'agirait d'une petite fille. Voilà notre couple tout heureux, recherchant le meilleur prénom qui soit. Ce qui fut fait. L'échographie suivante semblait confirmer ses dires. Malheureusement celle qui s'en suivit permis sans plus aucune incertitude qu'il n'y avait pas de hasard et que ce couple engendrait bien un garçon. La naissance était proche, il fallait changer ce qui avait déjà été préparé : linge, jouets, couleur... Il fallait surtout modifier l'état d'esprit des parents. Leur souhait initial était d'avoir un garçon ce qui correspondait à leurs «névroses», avec l'arrivé d'une fille, ils ont fait avec, s'habituant à l'idée et subitement il fallait revenir en arrière, «abandonner» un prénom pour un autre, abandonner un sexe pour un autre. L'enfant dans le ventre de sa mère a été garçon, puis fille, puis garçon et nommé ainsi. Et c'est là que l'on peut parler de traumatisme, celui des parents qui ne sera pas transparent au yeux de l'enfant. Combien de parents, au moment de la naissance expliqueront à leur «petit bout d'chou» (encore un traumatisme latent) que le gynécologue s'est trompé pendant la grossesse ? Très peu en effet, car il n'est pas encore dans notre état d'esprit de se dire que l'enfant dans le ventre de sa mère entend ce que l'on lui dit, qu'à la naissance il est capable de ressentir (sa manière à lui de comprendre) ce qui est dit. Parlez à l'enfant et il comprendra, comme réponse nous obtenons des parents qu'il est trop petit, qu'il ne peut pas comprendre et qu'il est plus stupide de lui parler en langage clair qu'avec des «Agueugueu, gnagnagna». Pourtant ces mêmes parents mettront de la musique pendant la grossesse et s'émerveilleront lorsque l'enfant, une fois né, s'endormira ou se calmera dès qu'il l'entendra.